Canoe Camping

Roasting marshmallows for s’mores / Rôtir les gimauves pour les s’mores

We arrived at Pioneer Camp, a little timid and a little lonely, but excited about the friendships we had already started to make on the drive there. We met our guides, and talked about the barriers we were going to remove as we entered the wilderness, so, we left our watches and alarm clocks, our deodorant and our soap behind. Good thing we were by a lake!

We canoed between a couple campsites during our four days. We were asked to think about what beauty and brokenness was to us, and where we saw it. We set out to explore the mines, and saw how we can break the natural beauty around us, but how nature will eventually take over and make it beautiful once again. No matter how broken and messed up we are, have been, or will become, God will always have a way to find the beauty in our disarray.

Finding out one morning that winds would be gusting up to 70km/h, we stuck around the island instead. A couple of us skipped back to bed to curl up, and everyone else danced to the tip of island, leaning over the edge, held up by the strong winds tearing around the point like birds. As things will, the thrill began to wear off, goosebumps began to form, and we took refuge in juniper bushes, the soft leaves cushioning the ground and sheltering us from the icy wind, allowing the sun to warm us up a little as we amused ourselves by teaching our guides French.

We woke up bright and early on our last day, packed up quickly and inhaled breakfast, motivated by the idea of being the first group back at camp, which meant dibs on hot showers.

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On est arrivé à Pioneer Camp, un peu timide et se sentant un peu seul, mais on avait hâte pour les amitiés  qui commençaient déjà.   On a rencontré nos guides et discuté des barrières qu’on allait enlever. Pour l’expérience, on a laissé nos montres et réveils matin, notre déodorant et notre savon.  Heureusement nous étions près d’un lac.

On a fait du canoë d’une ile à l’autre durant quatre jours. On nous a demandé de penser à propos de la beauté et las détresse et ce qu’ils représentent pour nous, et où on l’a vu. On est partie pour explorer les mines, and on a vu comment on peut briser la beauté naturelle autour de nous-mêmes, mais comment la nature va éventuellement prendre place encore et fait que c’est belle encore. N’importe comment brisé et déboussolé nous sommes, étions, ou allons devenir, Dieu va toujours avoir une moyen pour trouver la beauté dans nos désordre.

C’était révéler à nous un matin que le vent serait 70km/h, alors on a reste sur l’île. Deux ou trois de nous sommes allées retourner a nos lits heureusement pour un peu de sommeil extra, et la reste ont couru vers la pointe de l’île, penché par-dessus le bord,  soutenu par le vent fort qui se battait autour du point comme les oiseaux. Comme il faut, l’enchantement a commencé de diminuer, les chars de poule ont commencé à former,  et on prenait le refuge dans les genièvres, les feuilles moue matelassant le sol et nous protégeant du vent froid, laissant le soleil de nous réchauffer un peu dès que nous nous amusons par enseigner la Français à nos guides.

On s’est réveillé tôt le matin de notre dernier jour, emballait et mangeait vite, motivé par l’idée d’être le premier groupe retournant au camp, qui voulait dire la première aux douches.

Our fearless leaders / Nos leaders intrépides

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